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Toutes ces choses ..., Dimanche sportif

Dimanche sportif

Bonjour, C'est Cécile de nouveau sur LingQ pour vous faire partager un petit peu ma vie quotidienne. Aujourd'hui je vais vous raconter le dimanche que j'ai passé le week-end dernier. Allez, c'est parti ! Donc, le dimanche, nous avions prévu avec ma camarade d'escalade qui s'appelle Marion de partir en plein air au sud de Paris pour aller faire de l'escalade. J'ai réussi à me lever à 8 h 30 puis j'ai appelé Marion pour être sûre qu'elle soit elle aussi réveillée. C'est ce qu'on avait convenu la veille. Je me suis levé, je me suis habillé, j'ai déjeuné, j'ai préparé mon casse-croute pour le midi. J'avais prévu sandwich, compote, banane, noisettes, amandes et eau. J'ai également préparé mes affaires d'escalade : baudrier, mousqueton, chaussons, descendeur et magnésie. Puis une fois tout ça fait, j'ai pris ma voiture, et je suis allée chercher Marion chez elle, elle habite à 8 km de chez moi. Une fois arrivée chez elle, elle est monté dans ma voiture et on est partie au centre de Paris dans le 14ème, pour aller chercher deux autres amis. Une fois tout le monde réuni dans ma voiture, on a pris la direction de Fontainebleau. Fontainebleau, c'est une grande forêt où il y a aussi de gros rochers et où on peut faire de l'escalade. Donc on a mis à peu près une heure pour aller jusqu'à la bas. Et une fois là-bas, on a pu faire de l'escalade. Le beau temps n'était pas au rendez-vous, il faisait un peu frais et nuageux. Du coup toutes les parois des rochers étaient très humides et glissantes. C'était donc un petit peu compliqué de faire de l'escalade dans ces conditions, mais on a essayé de respecter les consignes de sécurité, de faire attention de ne pas se faire mal. On s'est quand même bien amusé. L'escalade sur de gros rochers, on appelle ça du bloc parce qu'on a besoin ni de baudrier, ni de corde, on a seulement besoin de magnésie et de chaussons qui cramponnent bien. On a besoin également crash-pad, les crash-pads ce sont des grands coussins qu'on positionne en bas du rocher, le crash-pas amortit la chute et évite qu'on se torde la cheville. Au bout de 2 ou 3 heures de tentatives, parce qu'en fait on n'arrivait pas à grimper vu que ça glissait beaucoup, il s'est mis à pleuvoir et à faire froid. Donc on s'est mis sur le chemin du retour pour retrouver la voiture, et puis là ô mon dieux, la voiture a était forcée, elle a été braquée, on m'a piqué mon GPS, et mes affaires d'escalade : le baudrier, le mousqueton et le descendeur. Donc du coup il a fallu aller à la gendarmerie la plus proche pour porter plainte, la plus proche était à 10 km, puisque c'était la campagne et en plus le dimanche les gendarmeries n'étaient pas toutes ouvertes. Ensuite on s'est dis qu'on n'allait pas rester sur une fin négative comme ça, donc on est allé dans une salle où on pouvait aussi faire du bloc. C'était au nord de Paris, donc on a fait tout le tour de Paris pour allez jusqu'à cette salle qui était dans une ville à côté de Cergy-Pontoise. On est arrivé vers dix-huit heures, on a fait 2 heures de bloc. Dès la première voie, je me suis blessé à la main. J'étais énervée mais j'ai continué quand même sur la douleur. Cette salle était vraiment bien parce qu'on avait toujours pas besoin de baudriers, ni de corde, rien...le murs montent jusqu'à trois mètres, peut-être trois mètres cinquante et il y a un coussin géant en dessous qui recouvre tout le sol de la salle, un crash-pad géant. Ce grand coussin évite que l'on se fasse mal, il faut quand même se préparer à se réceptionner pour ne pas se démettre une épaule, se tordre une cheville. Dans cette salle il y avait beaucoup de monde, il y avait peut-être une cinquantaine de personnes, et plus la soirée avançait moins il y avait de monde. Il y avait plusieurs niveau comme dans chaque salle, une couleur par niveau, et comme nous avions besoin de nous ré-échauffer après ce long trajet en voiture, nous avons commencé par un niveau très facile, on grimpait chacun son tour en augmentant à chaque tour le niveau. Nous sommes repartis vers 21H00. Nous étions tous bien fatigués et contents de notre journée. J'ai ramené tout le monde chez soi, je suis arrivée chez moi vers 22H30. J'ai dû me faire à manger, me doucher, et programmer mon réveil pour le lendemain car le lendemain c'était un lundi et comme la plus part d'entre vous, je devais me lever tôt.

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Dimanche sportif Sports Sunday

Bonjour, C'est Cécile de nouveau sur LingQ pour vous faire partager un petit peu ma vie quotidienne. Aujourd'hui je vais vous raconter le dimanche que j'ai passé le week-end dernier. Allez, c'est parti ! Donc, le dimanche, nous avions prévu avec ma camarade d'escalade qui s'appelle Marion de partir en plein air au sud de Paris pour aller faire de l'escalade. J'ai réussi à me lever à 8 h 30 puis j'ai appelé Marion pour être sûre qu'elle soit elle aussi réveillée. C'est ce qu'on avait convenu la veille. Je me suis levé, je me suis habillé, j'ai déjeuné, j'ai préparé mon casse-croute pour le midi. J'avais prévu sandwich, compote, banane, noisettes, amandes et eau. J'ai également préparé mes affaires d'escalade : baudrier, mousqueton, chaussons, descendeur et magnésie. Puis une fois tout ça fait, j'ai pris ma voiture, et je suis allée chercher Marion chez elle, elle habite à 8 km de chez moi. Une fois arrivée chez elle, elle est monté dans ma voiture et on est partie au centre de Paris dans le 14ème, pour aller chercher deux autres amis. Une fois tout le monde réuni dans ma voiture, on a pris la direction de Fontainebleau. Fontainebleau, c'est une grande forêt où il y a aussi de gros rochers et où on peut faire de l'escalade. Donc on a mis à peu près une heure pour aller jusqu'à la bas. Et une fois là-bas, on a pu faire de l'escalade. Le beau temps n'était pas au rendez-vous, il faisait un peu frais et nuageux. Du coup toutes les parois des rochers étaient très humides et glissantes. C'était donc un petit peu compliqué de faire de l'escalade dans ces conditions, mais on a essayé de respecter les consignes de sécurité, de faire attention de ne pas se faire mal. On s'est quand même bien amusé. L'escalade sur de gros rochers, on appelle ça du bloc parce qu'on a besoin ni de baudrier, ni de corde, on a seulement besoin de magnésie et de chaussons qui cramponnent bien. On a besoin également crash-pad, les crash-pads ce sont des grands coussins qu'on positionne en bas du rocher, le crash-pas amortit la chute et évite qu'on se torde la cheville. Au bout de 2 ou 3 heures de tentatives, parce qu'en fait on n'arrivait pas à grimper vu que ça glissait beaucoup, il s'est mis à pleuvoir et à faire froid. Donc on s'est mis sur le chemin du retour pour retrouver la voiture, et puis là ô mon dieux, la voiture a était forcée, elle a été braquée, on m'a piqué mon GPS, et mes affaires d'escalade : le baudrier, le mousqueton et le descendeur. Donc du coup il a fallu aller à la gendarmerie la plus proche pour porter plainte, la plus proche était à 10 km, puisque c'était la campagne et en plus le dimanche les gendarmeries n'étaient pas toutes ouvertes. Ensuite on s'est dis qu'on n'allait pas rester sur une fin négative comme ça, donc on est allé dans une salle où on pouvait aussi faire du bloc. C'était au nord de Paris, donc on a fait tout le tour de Paris pour allez jusqu'à cette salle qui était dans une ville à côté de Cergy-Pontoise. On est arrivé vers dix-huit heures, on a fait 2 heures de bloc. Dès la première voie, je me suis blessé à la main. J'étais énervée mais j'ai continué quand même sur la douleur. Cette salle était vraiment bien parce qu'on avait toujours pas besoin de baudriers, ni de corde, rien...le murs montent jusqu'à trois mètres, peut-être trois mètres cinquante et il y a un coussin géant en dessous qui recouvre tout le sol de la salle, un crash-pad géant. Ce grand coussin évite que l'on se fasse mal, il faut quand même se préparer à se réceptionner pour ne pas se démettre une épaule, se tordre une cheville. Dans cette salle il y avait beaucoup de monde, il y avait peut-être une cinquantaine de personnes, et plus la soirée avançait moins il y avait de monde. Il y avait plusieurs niveau comme dans chaque salle, une couleur par niveau, et comme nous avions besoin de nous ré-échauffer après ce long trajet en voiture, nous avons commencé par un niveau très facile, on grimpait chacun son tour en augmentant à chaque tour le niveau. Nous sommes repartis vers 21H00. Nous étions tous bien fatigués et contents de notre journée. J'ai ramené tout le monde chez soi, je suis arrivée chez moi vers 22H30. J'ai dû me faire à manger, me doucher, et programmer mon réveil pour le lendemain car le lendemain c'était un lundi et comme la plus part d'entre vous, je devais me lever tôt.