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Carnet de voyages, Carnet de voyage - 30

Dimanche 21 mai, La manip se termine, il faut penser à rentrer sur la base. Nous prenons la route vers midi, enfin sous le soleil alors que la randonnée se termine.

Arrivée sur la base en fin d'après-midi, les jambes raides et le dos endoloris par l'accumulation des longues heures de marche durant les cinq jours qu'aura duré notre raid. Apparemment, j'ai beaucoup de travail qui m'attend et qui va m'occuper pendant les dix jours qui me séparent de ma prochaine randonnée. Lundi 22 mai, Une nouvelle semaine commence avec en effet beaucoup de travail. C'est assez dur car je me ressens de la fatigue accumulée pendant la rando, mais en même temps, avec toute cette occupation, je ne vois pas le temps passer. Mardi 23 mai, La forme revient tout doucement et j'ai repris mes habitudes quotidiennes. Après le travail, badminton, séance de musculation et partie de tarots avec les Réunionnais.

Mercredi 24 mai, Il est tombé encore un peu de neige durant la nuit, on sent l'hiver approcher à grand pas. La nuit tombe de plus en plus tôt et il devient difficile de courir à l'extérieur. Le tapis de course étant hors d'usage, nous nous rabattons un peu à contre cœur sur la salle de musculation. Jeudi 25 mai, Toujours le même temps, toujours autant de travail, les journées se ressemblent mais ne sont pas monotones pour autant. Nous avons encore fait des heures sup pour essayer de régler notre problème de connexion Internet. A 18h30 tout fonctionnait, juste à temps pour aller fêter les trente huit ans de Bruno à la centrale électrique.

Coucher à deux heures du matin. La reprise du travail sera très dure tout à l'heure. Vendredi 26 mai, Le réveil n'a pas été si difficile finalement et dès mon arrivée à la station, je me suis attelé à un gros chantier, à savoir l'installation de la cabine téléphonique à carte. Heureusement que le travail se déroule dans le bâtiment car il fait de plus en plus froid avec ce vent glacial qui nous arrive directement du pôle Sud et qui balaye des nuages de neige.

Le vent a encore forci en soirée et les murs de ma chambre tremblent sous ses coups de boutoir.

Samedi 27 mai, Entre la panne du satellite et la cabine téléphonique qui s'obstine à ne pas fonctionner, je n'ai pas bougé de la station. En début de soirée, si le satellite fonctionnait de nouveau, la cabine, elle, ne veut rien savoir.

Pour me changer les idées, j'ai rejoint les réunionnais qui organisent une fête dans leur bâtiment, fête qui s'est terminée à 3 heures du matin. Heureusement, demain c'est dimanche et je peux m'octroyer une grasse matinée. Dimanche 28 mai, Le mauvais temps qui perdurait depuis plusieurs jours s'est enfin amélioré. Depuis ce matin il fait nettement moins froid et le vent s'est apaisé. L'essentiel est qu'il fasse beau pour mon départ en randonnée mercredi prochain. Pour l'heure, c'est sport : nous avons commencé par faire un badminton, puis un footing léger, seulement une manchotière pour finir en salle de musculation. Lundi 29 mai, Reprise du travail mais avec la tête ailleurs, car nous pensons déjà à notre prochain départ en randonnée. On commence déjà à préparer les sacs pour être sûr de ne rien oublier.

Mardi 30 mai, Depuis deux jours, la pression atmosphérique est en baisse. Elle n'a d'ailleurs jamais été aussi basse, c'est plutôt inquiétant, à tel point que notre randonnée est remise en question. Nous avons encore fait beaucoup de philatélie car deux ou trois bateaux pourraient bien passer par notre île avant l'arrivée du « Marion ». Mi-juin, c'est « l'Aldébaran » qui va nous amener des fruits frais et quelques produits laitiers, plus du courrier bien sûr. Un autre bateau de pêche devrait suivre quelques jours après.

Mercredi 31 mai, Finalement on ne repousse pas le départ car les conditions ne sont pas si mauvaises, et de toute façon nous avons maintenant l'habitude de marcher dans le vent, la pluie ou le brouillard. Malgré les douleurs que Francis ressent dans son genou, nous avons marché d'un bon pas et en deux heures trente, BUS est en vue. Pour aujourd'hui, on va se contenter de longer la plage car Francis doit récupérer pour les trois prochains jours pendant lesquels nous avons prévu quelques visites intéressantes. Nous avons eu droit à un bon repas ce soir, car en plus d'être boulanger de profession, Francis nous a fait découvrir ses talents de cuisinier !

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Dimanche 21 mai,

 

La manip se termine, il faut penser à rentrer sur la base. Nous prenons la route vers midi, enfin sous le soleil alors que la randonnée se termine.

Arrivée sur la base en fin d'après-midi, les jambes raides et le dos endoloris par  l'accumulation des longues heures de marche durant les cinq jours qu'aura duré notre raid.

Apparemment, j'ai beaucoup de travail qui m'attend et qui va m'occuper pendant les dix jours qui me séparent de ma prochaine randonnée.

 

 

Lundi 22 mai,

 

Une nouvelle semaine commence avec en effet beaucoup de travail. C'est assez dur car je me ressens de la fatigue accumulée pendant la rando, mais en même temps, avec toute cette occupation, je ne vois pas le temps passer.

 

Mardi 23 mai,

 

La forme revient tout doucement et j'ai repris mes habitudes quotidiennes. Après le travail, badminton, séance de musculation et partie de tarots avec les Réunionnais.

 

 

Mercredi 24 mai,

 

Il est tombé encore un peu de neige durant la nuit, on sent l'hiver approcher à grand pas. La nuit tombe de plus en plus tôt et il devient difficile de courir à l'extérieur. Le tapis de course étant hors d'usage, nous nous rabattons un peu à contre cœur sur la salle de musculation.

 

Jeudi 25 mai,

 

Toujours le même temps, toujours autant de travail, les journées se ressemblent mais ne sont pas monotones pour autant.

Nous avons encore fait des heures sup pour essayer de régler notre problème de connexion Internet. A 18h30 tout fonctionnait, juste à temps pour aller fêter les trente huit ans de Bruno à la centrale électrique.

Coucher à deux heures du matin. La reprise du travail sera très dure tout à l'heure.

 

Vendredi 26 mai,

 

Le réveil n'a pas été si difficile finalement et dès mon arrivée à la station, je me suis attelé à un gros chantier, à savoir l'installation de la cabine téléphonique à carte.

Heureusement que le travail se déroule dans le bâtiment car il fait de plus en plus froid avec ce vent glacial qui nous arrive directement du pôle Sud et qui balaye des nuages de neige.

Le vent a encore forci en soirée et les murs de ma chambre tremblent sous ses coups de boutoir.

 

Samedi 27 mai,

 

Entre la panne du satellite et la cabine téléphonique qui s'obstine à ne pas fonctionner, je n'ai pas bougé de la station.

En début de soirée, si le satellite fonctionnait de nouveau, la cabine, elle, ne veut rien savoir.

Pour me changer les idées, j'ai rejoint les réunionnais qui organisent une fête dans leur bâtiment, fête qui s'est terminée à 3 heures du matin. Heureusement, demain c'est dimanche et je peux m'octroyer une grasse matinée.

 

Dimanche 28 mai,

 

Le mauvais temps qui perdurait depuis plusieurs jours s'est enfin amélioré. Depuis ce matin il fait nettement moins froid et le vent s'est apaisé. L'essentiel est qu'il fasse beau pour mon départ en randonnée mercredi prochain.

Pour l'heure, c'est sport : nous avons commencé par faire un badminton, puis un footing léger, seulement une manchotière pour finir en salle de musculation.

 

Lundi 29 mai,

 

Reprise du travail mais avec la tête ailleurs, car nous pensons déjà à notre prochain départ en randonnée. On commence déjà à préparer les sacs pour être sûr de ne rien oublier.

 

Mardi 30 mai,

 

Depuis deux jours, la pression atmosphérique est en baisse. Elle n'a d'ailleurs jamais été aussi basse, c'est plutôt inquiétant, à tel point que notre randonnée est remise en question.

Nous avons encore fait beaucoup de philatélie car deux ou trois bateaux pourraient bien passer par notre île avant l'arrivée du « Marion ». Mi-juin, c'est « l'Aldébaran » qui va nous amener des fruits frais et quelques produits laitiers, plus du courrier bien sûr. Un autre bateau de pêche devrait suivre quelques jours après.

 

Mercredi 31 mai,

 

Finalement on ne repousse pas le départ car les conditions ne sont pas si mauvaises, et de toute façon nous avons maintenant l'habitude de marcher dans le vent, la pluie ou le brouillard. Malgré les douleurs que Francis ressent dans son genou, nous avons marché d'un bon pas et en deux heures trente, BUS est en vue.

Pour aujourd'hui, on va se contenter de longer la plage  car Francis doit récupérer pour les trois prochains jours pendant lesquels nous avons prévu quelques visites intéressantes.

Nous avons eu droit à un bon repas ce soir, car en plus d'être boulanger de profession, Francis nous a fait découvrir ses talents de cuisinier !