Bonjour aujourd'hui je vous propose une dictée. Cette dictée est tiré d'un passage d'un livre d'Ousmane SEMBENE «Ô pays, mon beau peuple», c'est un auteur et cinéaste sénégalais qui a longtemps vécu en France avant de rentrer dans son pays pour y promouvoir le savoir et la richesse de l'Afrique. Dans ce livre Il nous raconte son Afrique natal, les paysages, la vie des gens, la nature. le passage que je vais vous lire nous décrit la beauté d'un fleuve d'Afrique avec ses arbres, sa végétation et sa faune. Si vous souhaitez en savoir plus sur cet auteur, je vous laisse un lien internet.
D'abord nous pouvons lire ensemble le texte en entier afin que vous puissiez en saisir le sens et que vous vous familiariser avec les différents termes. Vous trouverez entre parenthèse la signification de certains mots qui me semblent difficile. Puis je relirai le texte plus doucement afin que vous puissiez l'écrire. Si je vais trop vite n'hésitez pas à arrêter l'enregistrement et à écouter plusieurs fois la phrase. Vous pouvez recommencer la dictée autant de fois que vous le voulez jusqu'à ce que cela soit parfait. Voici le texte un "magnifique paysage" L'eau du fleuve était lourde et jaune (à cause de la boue) ; d'un côté de la nappe (lac) s'étendait une plaine couverte de joncs (plantes à hautes tiges des marécages) , refuge des caïmans (sorte de crocodiles) . Au-delà, on apercevait la lisière sombre de la brousse (région couverte de broussailles) aux mille dangers. Des oiseaux au vol pesant passaient en escadrilles (comme en une formation d'avions militaires) au-dessus des roseaux ( plante aquatique, on en fait des flûtes) , les effleurant de leurs ailes ; des marabouts (oiseaux d'Afrique) , après avoir pêché abondamment dans les mares, s'élevaient à des hauteurs vertigineuses. Sur la rive droite dont le navire se rapprochait maintenant davantage, la brousse précipitait l'avalanche (la chute) de ses arbres qui se bousculaient avec fougue (rapidité) pour atteindre le fleuve. Creusés par les eaux et malmenés par cette furieuse poussée (la force du courant d'eau), les palmiers (arbres d'Afrique) se couchaient sur le fleuve, offrant leurs troncs rugueux au repos des jeunes caïmans ; leurs palmes (les feuilles de palmiers) abandonnées au courant semblaient des algues ( plantes aquatiques) flottantes. Voilà je viens de vous lire le texte et maintenant prenons un stylo et commençons la dictée: Voilà notre dictée est terminée alors maintenant vous pouvez réécouter le texte si j'ai été trop vite soit vous corriger. Refaite la dictée autant de fois que vous le voulez afin de faire le moins de fautes possible...
