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Carnet de voyages, Carnet de voyage - 18

Vendredi 25 février Cela fait quatre mois, jour pour jour que j'ai quitté la maison. Je n'ai pas vu le temps passer ! Ce matin, je suis allé réparer le tapis de course ; il commençait à donner des signes de fatigue ! Il faut dire que nous sommes trois à l'utiliser régulièrement au moins une heure chacun et presque chaque jour ! En fin d'après-midi, j'ai pu faire une séance d'entraînement mais au bout de quarante cinq minutes, le tapis est resté bloqué sur la vitesse maximale. Je suis resté le plus longtemps possible dessus, puis j'ai du sauter en route. J'ai peur qu'il ne soit définitivement hors service ! Nous devrons probablement nous résoudre à courir dehors. En été, ça va encore mais cet hiver ce sera une autre paire de manches, avec le froid, le vent et la neige !...

Samedi 26 février J'ai encore passé la matinée à essayer de dépanner le tapis de course. Le pire, c'est que j'ai trouvé la pièce défectueuse, mais je n'en ai pas de rechange. Ca ne vaut même pas le coup de commander la pièce, dieu sait quand nous la recevrons, si nous la recevons un jour ! Autant se réhabituer tout de suite à courir dehors. D'ailleurs aujourd'hui, c'est le temps idéal pour ça, pas de vent, grand soleil et température incroyablement douce de 17 °C. Dimanche 27 février Sixième dimanche de suite où il fait mauvais temps ! Je vais donc vaquer à mes occupations habituelles pour un dimanche pluvieux : lessive, repassage, ménage etc… Lundi 28 février Devinez quoi ? Eh oui, il fait grand beau temps. Vous pouvez imaginer qu'on est très content de reprendre le travail… Au moins j'ai pu faire un footing jusqu'à la plage et prendre un bain de soleil pendant presque deux heures. On ne se lasse pas d'admirer les milliers de manchots qui font leurs allées et venues de la plage jusqu'à la mer, des éléphants de mer qui se vautrent dans les trous de sable remplis d'eau saumâtre. Les oiseaux de proie, pour la plupart nécrophages, survolent sans discontinuer la plage en quête de poussins de manchot, leur mets favori. Plus loin des albatros entreprennent une parade amoureuse, allongeant leurs immenses ailes et lançant des sons étranges avec leur bec caverneux et qui résonnent loin au fond de la vallée.

Un manchot papou essaye de nourrir ses deux rejetons qui impatiemment le poursuivrent afin d'être le premier à recevoir la becquée. C'est toujours avec beaucoup de regrets que je reprends le chemin de la base, mais je sais que la vie ne s'arrête pas, ici comme ailleurs et que demain j'aurais bien d'autres occasions d'admirer la nature sauvage de mon île. Mardi 29 février Toujours ce temps magnifique ! Ca m'a permis d'effectuer le remplacement d'un câble téléphonique entre deux bâtiments. Ca faisait bien longtemps que je voulais le faire et avec le temps c'était le jour idéal. Nous voulions aller courir après le travail, mais il y avait vraiment trop de vent et nous avons opté pour une séance de musculation.

Mercredi 1er mars Ce n'est pas aujourd'hui que je vais travailler en extérieur ; ce matin, il fait un temps de chien avec beaucoup de pluie et un vent violent, même si la température est extrêmement douce. Je vais donc aider Erick à faire son inventaire : il faut compter les timbres, enveloppes, cartes postales etc… c'est un travail de fourmi.

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Vendredi 25 février

 

Cela fait quatre mois, jour pour jour que j'ai quitté la maison. Je n'ai pas vu le temps passer !

Ce matin, je suis allé réparer le tapis de course ; il commençait à donner des signes de fatigue ! Il faut dire que nous sommes trois à l'utiliser régulièrement au moins une heure chacun et presque chaque jour !

En fin d'après-midi, j'ai pu faire une séance d'entraînement mais au bout de quarante cinq minutes, le tapis est resté bloqué sur la vitesse maximale. Je suis resté le plus longtemps possible dessus, puis j'ai du sauter en route. J'ai peur qu'il ne soit définitivement hors service ! Nous devrons probablement nous résoudre à courir dehors. En été, ça va encore mais cet hiver ce sera une autre paire de manches, avec le froid, le vent et la neige !...

 

 

Samedi 26 février

 

J'ai encore passé la matinée à essayer de dépanner le tapis de course. Le pire, c'est que j'ai trouvé la pièce défectueuse, mais je n'en ai pas de rechange. Ca ne vaut même pas le coup de commander la pièce, dieu sait quand nous la recevrons, si nous la recevons un jour ! Autant se réhabituer tout de suite à courir dehors. D'ailleurs aujourd'hui, c'est le temps idéal pour ça, pas de vent, grand soleil et température incroyablement douce de 17 °C.

 

 

Dimanche 27 février

 

Sixième dimanche de suite où il fait mauvais temps ! Je vais donc vaquer à mes occupations habituelles pour un dimanche pluvieux : lessive, repassage, ménage etc…

 

 

Lundi 28 février

 

Devinez quoi ? Eh oui, il fait grand beau temps. Vous pouvez imaginer qu'on est très content de reprendre le travail…

Au moins j'ai pu faire un footing jusqu'à la plage et prendre un bain de soleil pendant presque deux heures.

On ne se lasse pas d'admirer les milliers de manchots qui font leurs allées et venues de la plage jusqu'à la mer, des éléphants de mer qui se vautrent dans les trous de sable  remplis d'eau saumâtre. Les oiseaux de proie, pour la plupart nécrophages, survolent sans discontinuer la plage en quête de poussins de manchot, leur mets favori. Plus loin des albatros entreprennent une parade amoureuse, allongeant leurs immenses ailes et lançant des sons étranges avec leur bec caverneux et qui résonnent loin au fond de la vallée.

Un  manchot papou essaye de nourrir ses deux  rejetons qui impatiemment le poursuivrent afin d'être le premier à recevoir la becquée.

C'est toujours avec beaucoup de regrets que je reprends le chemin de la base, mais je sais que la vie ne s'arrête pas, ici comme ailleurs et que demain j'aurais bien d'autres occasions d'admirer la nature sauvage de mon île.

 

 

Mardi 29 février

 

Toujours ce temps magnifique ! Ca m'a permis d'effectuer le remplacement d'un câble téléphonique entre deux bâtiments. Ca faisait bien longtemps que je voulais le faire et avec le temps c'était le jour idéal.

Nous voulions aller courir après le travail, mais il y avait vraiment trop de vent et nous avons opté pour une séance de musculation.

 

Mercredi 1er mars

 

Ce n'est pas aujourd'hui que je vais travailler en extérieur ; ce matin, il fait un temps de chien avec beaucoup de pluie et un vent violent, même si la température est extrêmement douce.

Je vais donc aider Erick à faire son inventaire : il faut compter les timbres, enveloppes, cartes postales etc… c'est un travail de fourmi.